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L’INTERMEDE
DU COACHING NUTRITIONNEL
De l’inspiration, des outils
…et un brin de provocation !
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Première partie :
Communiquer : une affaire de cerveau et d’attentes
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On croit que parler suffit.
Mais ce n’est pas ce que l’on dit qui compte.
Ce qui compte c’est la manière dont cela résonne dans le cerveau de l’autre.
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Et pour cela, il faut connaître ses attentes.
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Il y a celles qui veulent des preuves.
Elles vous écoutent si vous avancez des données claires, des explications logiques, des mécanismes validés.
Chez elles, tout passe par le raisonnement. Rien ne rentre sans démonstration.
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D’autres ont besoin de cadre, de méthode.
Elles se sentent rassurées par une organisation rigoureuse, des consignes précises, des étapes bien balisées.
Elles veulent savoir où elles vont, comment, et pourquoi. Pas de place pour l’improvisation.
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Certaines, à l’inverse, ne cherchent ni structure ni protocole.
Elles veulent être touchées.
Écoutées.
Elles ont besoin de sentir qu’on les comprend, qu’on les respecte dans leurs ressentis.
Que ce qu’on leur propose ait du sens, au-delà des chiffres.
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Et puis, il y a celles qu’anime la curiosité. Qui aiment expérimenter, sortir des sentiers battus, créer leur propre voie. Et qui ont horreur des carcans.
Ce qu’elles attendent, ce n’est pas un plan figé, mais une ouverture, des pistes à explorer, des outils à s’approprier.
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Ajuster sa communication
Le message ne peut donc pas rester rigide. Il doit être ajusté au profil de votre interlocutrice.
Et cela ne s’improvise pas.
Un modèle existe : Le HBDI, validé par les neurosciences, qui permet de repérer ces préférences de communication.
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Le modèle HBDI (Herrmann Braind Dominance Instrument)
Mis au point par Ned Herrmann dès les années 70, ce modèle s’appuie sur les différents types de fonctionnement cérébral. Et il reste aujourd’hui un outil précieux, à la fois simple, accessible, et redoutablement efficace pour connaître les attentes et les comportements et y ajuster sa communication.
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Il parle au cerveau rationnel, parce qu’il repose sur la neurologie.
Il rassure les esprits méthodiques, car il a été expérimenté depuis des décennies.
Il séduit les profils créatifs par son approche transversale du comportement.
Et il touche ceux et celles qui placent l’humain au centre de leur pratique, car il relie la biologie aux émotions, les schémas mentaux à la relation.
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C’est cela, communiquer :
Ce n’est pas aligner des phrases.
Mais faire passer une idée, un projet, une intention de cerveau à cerveau.
Sans manière standardisée.
Mais avec finesse.
Avec adaptation.
Avec conscience.
