La résistance à l’insuline :
conséquence… ou symptôme hormonal ?

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On la classe trop vite parmi les problèmes de sucre.
On la réduit à un pré-diabète discret, facile à réguler.
On croit qu’il suffit de manger moins sucré pour l’effacer.
Mais c’est faux.
La résistance à l’insuline n’est pas un simple excès de sucre.
C’est souvent un déséquilibre hormonal profond, silencieux, progressif, qui dérègle tout l’organisme.​

 

L’insulinorésistance agit comme un poison lent :
elle altère la production, perturbe la transformation, et sabote les récepteurs de presque toutes les grandes hormones.

Et c’est ainsi qu’un “simple” déséquilibre glycémique devient un chaos hormonal silencieux.

Résultat : les symptômes s’accumulent, et les efforts (alimentaires, physiques, thérapeutiques) perdent en impact.

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Une perturbation métabolique… et hormonale

La résistance à l’insuline agit comme un catalyseur invisible de nombreuses pathologies :

Métaboliques & glycémiques (Diabète de type 2, prédiabète, intolérance au glucose, syndrome métabolique )

Poids & stockage (Obésité viscérale, prise de poids résistante, fonte musculaire et  surcharge grasse

Neurologiques & cérébraux ( Fatigue chronique, brouillard mental, troubles de concentration, mémoire, dépression inflammatoire, Alzheimer (appelé parfois “diabète de type 3”)

Hormono- gynécologiques (SOPK, infertilité, hyperandrogénie, acné, ménopause chaotique, cycles irréguliers, aménorrhée fonctionnelle,

cardio-vasculaire  (Hypertension artérielle, athérosclérose précoce, risque cardio élevé, inflammation de bas grade)

Digestives & autres (Stéatose hépatique non alcoolique (NASH), acné persistante, dermatites, cancers hormono-dépendants (sein, endomètre, prostate…)

Et à long terme: Vieillissement accéléré, affaissement de l’axe HHS (hypothalamo--hypophyso-surrénalien)

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